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Frog in the Sand
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Posted - 09/05/2006 : 03:20:18
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Cass, j'ai uploadé les b-sides des QOTSA sur soulseek, fais-moi signe quand tu es connecté.
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cassandra is
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Frog in the Sand
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Posted - 09/05/2006 : 03:27:12
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Je voulais dire : connecté à Soulseek !
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cassandra is
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Frog in the Sand
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Posted - 09/05/2006 : 03:32:55
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Ah oui tiens, bonne question :)
C'est "letsgetabitarockin". (Pourquoi faire simple...)
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cassandra is
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Frog in the Sand
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Posted - 09/05/2006 : 03:39:38
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Glups. Pourtant j'suis connecté, j'le jure !
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cassandra is
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cassandra is
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Frog in the Sand
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Posted - 09/05/2006 : 03:46:18
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Non :(
Et toi, c'est quoi ton username ?
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cassandra is
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Frog in the Sand
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Posted - 09/05/2006 : 03:50:06
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Avec un espace entre "bob" et "79" ?
Es-tu sûr d'avoir bien tapé mon username ? Comme il est un brin compliqué...
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Frog in the Sand
-+ Le premiere frog +-
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Posted - 09/05/2006 : 03:51:20
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Ah ça y est, je vois un bob79... déconnecté !
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cassandra is
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cassandra is
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Frog in the Sand
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Posted - 09/05/2006 : 03:56:16
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C'est même franchement zarbi. Je ne trouve pas de "bob 79" mais il existe un "bob79" avec 31 fichiers. C'est toi ?
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cassandra is
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Frog in the Sand
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Posted - 09/05/2006 : 03:58:28
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Si c'est bien toi, tu apparais comme déconnecté...
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cassandra is
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cassandra is
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Frog in the Sand
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Posted - 09/05/2006 : 04:07:01
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In heeeaaaven everyyything is fine!
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ofabsis
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Posted - 09/05/2006 : 05:13:28
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sinon est ce que vous savez si des concerts de franky sont prévus en france d'ici la fin d'année ou en 2007 ?? |
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ofabsis
= Cult of Ray =
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cassandra is
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Frog in the Sand
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Posted - 09/05/2006 : 06:05:13
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Au fait, l'autre jour dans les news, j'ai lu "FB at L'Olympia" au lieu de "FB in Olympia"! Je vous laisse imaginer ma tête
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cassandra is
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jediroller
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ofabsis
= Cult of Ray =
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Posted - 09/05/2006 : 06:41:58
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je sais que tout le monde s'en fout et c'est pas grave, les fishbones passent dans mon village et ca... ca fait vachement plaisir |
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cassandra is
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ofabsis
= Cult of Ray =
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cassandra is
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Frog in the Sand
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Posted - 09/05/2006 : 09:17:01
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J'ai vu Mogwai (en 1ère partie des Pixies je crois) avec un de mes frangins, qui a élégamment résumé notre impression par ces mots : "Si j'avais les fesses à la place des oreilles j'appellerais ça de la sodomie."
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cassandra is
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cassandra is
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Posted - 09/06/2006 : 01:57:36
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Je connaissais ce groupe de nom, mais sans plus. L'article est un peu long, mais vaut vraiment le coup d'oeil...
Récit La fortune en fumée de la K Foundation LE MONDE | 05.09.06 | 08h00 • Mis à jour le 05.09.06 | 08h00 Le bûcher a duré deux heures. Deux heures pour brûler 1 million de livres sterling, en coupure de 50, soit 20 000 billets de banque à l'effigie de la Reine. La somme correspond au solde des royalties du duo techno-pop britannique KLF (pour Kopyright Liberation Front). Il est 2 h 45, ce matin du 23 août 1994. Bill Drummond et Jimmy Cauty viennent de signer la dernière œuvre de la K Foundation, une fondation d'art créée en 1993 par les deux pop stars britanniques. La plus audacieuse, la plus fascinante et la plus controversée à ce jour. Les deux hommes se sont juré de ne pas en parler jusqu'en 2018. Depuis, la presse britannique a fait entrer Drummond et Cauty dans le panthéon des personnalités fantasques si chères au royaume de la pop. Et cherche toujours à comprendre.
En 1991, Drummond et Cauty ont été les plus gros vendeur de "single" (CD 2 titres) dans le monde grace à What Time is Love, un morceau adopté par le mouvement rave et techno, alors en plein essor. Depuis leur apparition en 1988 sous divers patronymes (Justified and Ancients of Mu Mu, The JAMS, Timelords puis KLF), ils ont engrangé six millions de livres de royalties. Les cinq premiers ont été réinvestis à perte, dans un film inachevé ("une nullité", dixit Drummond au magazine Q en 1992), divers projets artistiques et bien sûr, dûment reversés aux impôts.
En 1992, au faîte de leur gloire, les deux hommes ont mis fin à leur carrière musicale. Et l'ont annoncé avec fracas lors de la cérémonie des Brit Awards, alors qu'ils recevaient les prix de "meilleur groupe" et "meilleur album" de l'année. Accompagnés du groupe de hard rock norvégien Extreme Noise Terror, ils ont massacré leur tube du moment, 3 a.m. Eternal, avant de mitrailler à blanc le public, pris de panique, et de déposer la carcasse d'un mouton à l'entrée du cocktail d'après cérémonie. Aujourd'hui encore, l'événement figure parmi les dix moments les plus rock'n'roll de l'histoire, selon l'hebdomadaire britannique New Musical Express.
Cette fois-ci pourtant, la scène se déroule en catimini, à l'intérieur d'un petit abri pour bateau sur l'île de Jura, au large de l'Ecosse. Le lieu, connu pour son whisky, est apprécié des grosses fortunes du Royaume-Uni. A l'inverse, Bill Drummond et Jimmy Cauty regardent sans broncher la leur partir en fumée. Deux témoins assistent à la "performance" : Jim Reid, un journaliste indépendant et Alan Goodrick, leur tourneur et ami, surnommé Gimpo, qui filme le bûcher hors de prix avec une caméra 16 mm. Le petit groupe quitte l'île le jour même. Sans publicité.
Si le duo est coutumier des provocations artistiques, les vagues de ce scandale mettront quelque temps à atteindre les côtes anglaises. Le 25— septembre 1994, Jim Reid publie son récit dans The Observer : "La plus étrange histoire de l'année". Etrange parce que littéralement "incroyable", et pourtant vraie. Le 28 août 1994, soit cinq jours après leur performance, un habitant de l'île découvre 1500 livres sterling sur une plage. Quelques billets rescapés des flammes. Le Times rapporte les faits dans son édition du 4 octobre seulement. Le correspondant se fait alors l'écho de l'incrédulité et de la colère des habitants. Paul Smith, producteur de leur dernière apparition scénique en 1997 et fondateur du label musical Blast First (une division de Mute Records, le label de Depeche Mode et Moby) confirme : "Aujourd'hui encore, le patron de l'hôtel qui les a hébergés refuse catégoriquement d'aborder le sujet." A Londres, on parle d'un canular, d'une énième folie de ces pop stars prêtes à tout pour se faire remarquer. "Je l'ai appris comme tout le monde par la presse. Même leurs femmes n'étaient pas au courant. Les gens ont mis du temps à prendre au sérieux leur geste, et surtout à le considérer comme une œuvre." Il se souvient avoir d'abord pensé que "c'était une très mauvaise idée. Plus tard, j'ai compris comment ils avaient pu en arriver-là."
LA DESTRUCTION COMME THÈME RÉCURRENT
Bill Drummond et Jimmy Cauty se rencontrent au milieu des années 1980. Bill Drummond est une figure de la pop music. Guitariste dans le groupe Big In Japan (avec le futur chanteur de Franky Goes to Hollywood), fondateur du label indépendant Zoo records en 1978, il fut longtemps le manager des groupes rock Echo and the Bunnymen et Teardrop Explodes. Deux formations importantes des années 1980. Devenu directeur artistique chez Warner, l'une des grandes maisons de disque mondiale, il signe Brilliant, le projet pop de Jimmy Cauty, un ex-étudiant en art comme lui. Parcours classique de tout apprenti rock star au Royaume-Uni. L'album de Brillant est un échec commercial. Et laisse un trou de 300 000 £ chez Warner. Le tarif du producteur Pete Waterman. "Un génie absolu", explique Drummond au magazine Q, capable "d'effacer son travail de la journée en un instant. Une attitude tellement rafraîchissante !" Un signe déjà.
La destruction, le bûcher rédempteur sont des thèmes récurrents dans l'histoire de KLF. Une histoire fulgurante (1987-1992) au regard du nombre d'œuvres produites, faite d'outrages, de manipulations tout autant que de transparence absolue et de vérité crue. En 1987, leur premier album finit au bûcher, déjà, à cause d'un sample (un extrait) emprunté sans autorisation au groupe suédois Abba. A la suite de leur premier tube, Doctor'in the Tardis, en 1988, ils écrivent un livre, The Manual, ou comment obtenir facilement un n° 1. A leur retraite, en 1992, les deux hommes décident enfin d'effacer tout leur catalogue.
Drummond et Cauty s'appliquent en fait à mettre en œuvre une théorie qui les passionne : le situationnisme de Guy Debord et son analyse de la société du spectacle. Ils y ajoutent leur admiration pour un livre-phare de la contre culture anglo-saxonne des années 1970 : The Illuminatus! Trilogy, de Robert Shea et Robert Anton Wilson, rédacteurs en chef de Playboy Magazine, passionnés par les théories du complot en vogue à l'époque. Un fourre-tout intellectuel qui sert de canevas à leur carrière. "Une célébration contemporaine de la pop star telle qu'envisagée par la grande majorité de la classe ouvrière", selon Paul Smith. Et vécue "comme une expérience religieuse, avec ses rites, ses costumes, ses encens". Le groupe arborera d'innombrables capes, cornes et autre accoutrement ridicules dans ses vidéos.
Deux ans après leur retrait de l'industrie musicale, le bûcher d'un million ressemble bel et bien à un adieu aux arts. Et à leur valeur suprême : l'argent. Vêtus de leurs habits d'artistes conceptuels, ils s'attachent une fois de plus à renverser l'ordre établi. Au départ, une idée simple : pirater l'une de plus prestigieuses institutions de l'art contemporain britannique, le Turner Prize de la Tate Gallery. Qu'ils radicalisent en offrant un prix deux fois plus important (40 000 £) à la même artiste (Rachel Witheread), mais pour la pire œuvre de l'année. A l'arrivée : le comble de l'inutile. Entre temps : une mise en scène ahurissante racontée par le magazine Q (un voyage en limousine, Money, Money, Money de Abba en musique d'ambiance, 25 enveloppes de 1600 £ confiées aux invités, soit 40 000 £), une artiste prise en otage (en cas de refus du prix, la K Foundation s'engageait à brûler la somme)… et, détail cocasse, 9 000 £ dérobés le soir de la remise du prix par quelques indélicats.
Le piratage était aussi et surtout l'occasion pour Drummond et Cauty d'exposer leur tableau Money: a Major Body of Cash. Soit 1 million de livres cloutées à l'intérieur d'un cadre. A ce moment-là, les artistes envisagent plusieurs expositions. Le tableau serait divisé en sept pièces, vendues à des prix différents, parfois à la moitié de leur valeur monétaire. Une amusante réflexion sur la valeur de l'art. Mais les galeries se désengagent et personne ne veut assurer une telle œuvre. Trop de risques. Ce million pèse alors comme un poids mort sur les deux hommes. Qui décident de le brûler. Et d'en parler.
Un an jour pour jour après leur acte, KLF diffuse le film sur l'île de Jura, puis dans plusieurs villes du Royaume-Uni. A chaque fois, un débat est organisé après la projection. Une seule question : pourquoi ont-ils fait ça? Le public a la parole. Mais toujours, les mêmes reproches reviennent : "Il y avait beaucoup de colère, se rappelle Paul Smith. La plupart des gens se demandaient pourquoi ils n'avaient pas donné cet argent. Avec bien sûr l'idée qu'il aurait pu servir à des personnes dans le besoin." Lassés par la teneur des débats, Drummond et Cauty décident de détruire toutes les copies, et jurent de ne pas en parler pendant 23 ans. Malin, leur ami Gimpo en garde une et la diffuse à l'occasion de festivals, ou d'expositions. Le film, d'une durée de 63 mn, est devenu classique de la contre-culture en Angleterre. Le symbole du refus de ce duo d'entrer dans le système. Un bras d'honneur à la mesure de leur folie et de l'absurdité revendiquée de leur art.
Douze ans après, il n'existe toujours pas d'explication officielle. S'agissait-il de boucler la boucle du situationnisme ? D'un acte d'auto-terrorisme de la part du Front de Libération du Copyright ? D'un message à destination d'Abba ? Interviewé par le Times en 2002, Bill Drummond avoue n'avoir jamais été "capable de résister aux idées folles qui (lui) traversent l'esprit. D'ordinaire, les gens en parlent cinq minutes au pub et oublient. Moi non". Aujourd'hui il voit ça comme un handicap. Paul Smith avance une autre idée : "Ils avaient beaucoup de problème personnels à l'époque, qui semblaient liés au succès qu'ils avaient connu. L'argent était la plus tangible des conséquences de ce succès. Alors ils ont décidé de se débarrasser de l'argent, pour se débarrasser des problèmes. A cette époque, tout ce qu'ils faisaient leur rapportait beaucoup. Ils avaient besoin d'une idée qui ne pourrait absolument rien créer." Aux dires de Drummond, ses enfants ont parfois du mal à avaler la pilule.
Odile de Plas
pas de bras pas de chocolat |
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Frog in the Sand
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Posted - 09/06/2006 : 02:10:28
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quote: Originally posted by cassandra is
pour la première date au zénith de Paris après la reformation? j'y étais aussi et je tiens toutefois à dire que c'était étonnament calme
C'était bien au Zénith en 2004, mais ce n'était pas calme du tout. J'en déduis que c'était la deuxième date :)
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